€18.00 EUR
Soeur Altarii (Fantasy) comprend 2 options de tête (1 tête casquée et 1 tête nue) + 1 socle rond 25mm.
Disponible en résine, échelle 30mm héroïque.
€18.00 EUR
Cette miniature en résine est d'une échelle 28 mm héroïque et est utilisable en Science-Fiction et en Fantasy.
Sister Ardanna, Pilier de la Foi inclut 2 pistolets en pièces séparées, + 1 socle rond de 25mm.
Cette figurine est également incluse dans la Heroine Box Soeurs 1.
Son histoire en VO (la VF arrive bientôt...) :
Ardanna is without a doubt the most loyal Servant of the Chalice. She's the epitome of paladin-hood. She will never fail you. No one can shake her faith and her unflinching courage inspires even the worst Unbelievers.
She may be wearing an armor, but she has always refused to wear shoes or sabatons. She says that walking barefooted serves as a perpetual reminder that she is nothing but an humble servant in the service of the Mothers.
Stern and taciturn, when Ardanna does speak, her words cut like steel. And the most hardened liars break down under the strength of her clear blue gaze.
But her steadfast and pure soul could also be her downfall: Ardanna's rigidity and righteousness make her unable to imagine the dark side of things happening within her own Order. How will she cope when she discovers that there lurks darkness and wrongdoings?
€15.00 EUR
Arkiish, La Faucheuse Noire (The Black Reaper) + 1 socle rond 25mm.
Disponible en résine, échelle 30mm héroïque.
€22.00 EUR
Arthenya VI, Archpapesse (F) et ses 2 minions Hocus et Pokus + 3 socles ronds 25mm
Disponible en résine, échelle 30mm héroïque.
€14.95 EUR
Une Héroïne / Guerrière / Sorcière personnalisable pour les armées Vampires, Elfes Noirs, Chaotiques et autres armées maléfiques.
La boîte contient 7 accessoires :
4 Armes (Épée Longue, Bâton de Magicien, Livre de Sorts, Bouclier)
3 Têtes ( Vampire, Elfe Noir, Heaume Chaotique)
Échelle 28mm
Tient sur une base ronde de 25mm
En métal blanc
28mm des talons aux yeux
35mm du bout des pieds aux yeux (ses immenses talons la font marcher sur la pointe des pieds)
Concept par Benoit Guerville. Sculpture par Fausto Gutiérrez López (Yedharo Models). Peinture par minivince (Team Toulouse).
Une version SF d'Asharah est aussi disponible.
"Se rendre ? Se rendre !!! Ces gens tiennent-ils à m’insulter ? N’ont-ils aucun savoir-vivre ?"
La femme s’était levée d’un bond dans un cliquetis de métal.
Son armure ajustée luisait tel un gant d'airain sur un corps si parfait qu’il semblait irréel.
Tout en elle semblait irréel.
Comme ces talons d’acier, si vertigineux qu’il semblait impossible d’espérer faire un seul pas et encore moins livrer bataille avec de telles bottes. Ou comme cette haute coiffure ornée de grandes cornes de bronze bien trop lourdes pour une tête aussi délicate. Tout lui conférait une présence magnétique, presque douloureuse tant elle était intense.
Trop belle, trop grande, trop puissante.
Asharah, une reine tout droit sortie des enfers.
Autour d’elle, rien que des soldats d’élite ; l’avant-garde de sa gigantesque armée, prête au combat, attendait son bon vouloir.
Son esprit semblait s’habituer à l’étrangeté de la nouvelle et commençait à en mesurer toutes les conséquences, la plongeant dans une stupeur grandissante.
"Se rendre ?!... Ils veulent… se rendre ? Sans même livrer bataille !?"
Le messager acquiesça sans oser prononcer un seul mot.
Pendant un moment, elle resta sans voix. Le silence sembla durer une éternité. Malgré les deux cents guerriers en arme qui l’entouraient à cet instant, malgré les monstrueuses bêtes de somme, l’acier et l’alcool qui coulait à flots, plus rien, plus un bruit, plus un souffle. Même le crépitement du feu semblait avoir diminué.
D’un seul coup, plus vite qu’un serpent, elle fit volte-face. En un instant elle était nez à nez avec l’un de ses conseillers, les yeux plantés dans les siens.
Son geste était si rapide, si soudain que le messager se sentit pris d’une nausée, comme si quelque chose dans l’espace et le temps s’était tordu de façon abjecte.
Le conseiller était une montagne de muscles, bardé de lames d’acier acérées et de cicatrices. Des têtes fraîchement coupées ornaient sa ceinture. Un monstre de guerre. Il dépassait Asharah de deux bonnes têtes.
Face à elle, il avait l’air d’un petit enfant. Silence.
La vérité dans toute son ampleur semblait enfin s’imposer à elle.
"Ils veulent se rendre… Pourquoi ? Pourquoi personne ne veut jouer avec moi ?"
Le conseiller baissa les yeux. Un instant, son menton sembla trembler.
"Je ne peux pas… comprendre", dit l’homme à mi-voix.
Asharah haussa un sourcil.
"On dit 'Je ne comprends pas', Xiagan. Tu sais que je déteste qu’on écorche la langue de ces gens. Je déteste qu’on parle n’importe quelle langue d’une manière inélégante. Dire que nous avons appris leur langue pour leur faire part le plus courtoisement possible de notre intention de raser leur citée, et voilà comment ils nous remercient…"
Elle fit une autre volte-face tout aussi soudaine pour hurler dans la direction de la plaine d’où était apparu le messager.
"Bande de bâtards impuissants !! Je pisse sur vos salopes de mères, je crache à la gueule de vos ancêtres, vous n’êtes qu’un tas de fumier putride !!! "
Comme surprise par son emportement soudain, Asharah jeta un rapide regard en coin vers ses troupes derrière elle, tira de ses deux mains sur le haut de son corset en métal pour réajuster sa poitrine, puis, lentement se tourna à nouveau vers sa petite armée.
Tous la regardaient, immobiles. Beaux, séduisants, vénéneux, terribles.
"Mes amis, nos adversaires nous refusent la joie de se battre. Nous ne nous abaisserons pas à danser avec eux, à rire et chanter la joie du combat avec des adversaires qui ont déjà perdu d’avance. Mais nous marcherons tout de même. Je leur réserve d’autres plaisirs... "
Une flamme illuminait à nouveau son regard. Elle claqua dans ses doigts, aussitôt un immense étendard emplit le ciel. Au pied de l’étendard se tenaient deux superbes femmes entièrement dévêtues. A côté d’elles, une masse de chair surmontée d’un angelot difforme avançait en première ligne.
Marchant vers eux, elle murmura pour elle-même : "Mes petits, heureusement que vous êtes près de moi…"